C'est la préservation de la faune et de la flore. Parce qu'en médecine traditionnelle et en spiritualité africaine la matière de base que nous utilisons dans nos recherches et de façon pratique, c'est la faune et la flore, c'est-à-dire la végétation et les animaux. Et donc, du coup, nous recensons les espèces animales et végétales utilisées en médecine traditionnelle et en spiritualité africaine qui sont en voie de disparition, Ensuite, nous ne les protégeons pas des techniques modernes de préservation de la biodiversité animale et végétale. Nous alertons les décideurs avec des méthodes de plaidoiries pour la préservation de la biodiversité face au changement climatique.

• Aussi, comme la dégradation des terres influence la biodiversité végétale et que le changement climatique intensifie la disparition des espèces, nous nous accentuons davantage sur le lien entre les menaces qui pèsent sur la diversité animale et végétale et le changement climatique.
• Il y a beaucoup d'espèces sur lesquelles nous nous concentrons désormais.
• Ce sont des espèces utilisées pour traiter les maladies incurables, les maladies physiques et métaphysiques, les problèmes de fertilité chez les hommes et chez les femmes.
• Nous utilisons aussi des plantes pour prévenir les cancers chez les hommes et chez les femmes (On parlera de la prostate chez les hommes, cancer du col chez les femmes), pour traiter la drépanocytose, ou renforcer les os.
• Ces plantes sont par exemple le prosopis africana, le roi des herbes qui est un l'anti-inflammatoire, l'aubergine sauvage qui traite les cancers etc...
• Donc nous évaluons la disponibilité et les menaces qui pèsent sur ces espèces et comment réduire ou fléchir les pressions sur ces espèces.